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Comment fonctionne un mouvement automatique?

Qui veut acheter une montre automatique , devrait savoir comment cela fonctionne et quelles sont les différences dans les lecteurs automatiques. Le principe le plus important est que pour déplacer n'importe quoi dans les mouvements mécaniques, il faut du pouvoir. Le même stocke le ressort de tension emballé dans le canon. Et dans un état plus ou moins blessé.

En principe, le "automatique" dans une montre automatique est un mouvement mécanique normal avec un mécanisme supplémentaire qui convertit l'énergie cinétique en énergie potentielle. En d'autres termes, lorsque le porteur bouge son poignet et donc la montre-bracelet, ce mouvement sert à tendre le ressort de traction. Véhicule est la gravité, ce qui permet un volant, indépendamment du fait qu'il soit conçu comme un centre, trois-quarts ou micro-rotor , le centre de la terre. Une petite chaîne de transmission transmet l'énergie cinétique qui en résulte au canon.

Je nach Konstruktion der Automatik-Baugruppe besteht letztgenannte aus zwei Komponenten: Automatikuhren mit beidseitig wirkendem Aufzug verfügen zunächst einmal über ein Wechselgetriebe. Ihm kommt es zu, die Rotorbewegungen gleichzurichten. Die Energieerzeugung erfolgt also unabhängig von der Drehrichtung. Im Laufe der Jahrzehnte haben sich die Techniker und Uhrmacher verschiedene Polarisierungssysteme einfallen lassen, die mit Hilfe von Zahnrädern, Schaltklinken oder Exzentern funktionieren.

Gleichrichter-Pionier bei Automatikuhren war der 1918 gegründete Rohwerkefabrikant Felsa. 1942 hatte das im Schweizerischen Lengnau ansässige Unternehmen die Automatik-Patente des Hauses Rolex durch einen raffinierten Schachzug ausgehebelt. Beim „Bidynator“ Kaliber 692 (Durchmesser 112 Linien, Höhe 5,8 mm) erfolgte der Rotoraufzug nämlich erstmals in beiden Bewegungsrichtungen von Handgelenk und Armbanduhr, also beidseitig. Der Trick: Eine kleine Wippe, welche die Verbindung zum Reduktionsgetriebe und Federhaus je nach Rotor-Drehrichtung über ein oder zwei Zahnräder herstellte.

Drei Jahre später debütierte auch Longines mit einem Rotor-Werk. Die Manufaktur hatte sich im Hinblick auf die rechtliche Lage ebenfalls etwas Neues, Patentwürdiges ausgedacht: Bei ihrem 13-linigen, 6,5 mm hohen „22 A“ wirkte die Schwungmasse ebenfalls beidseitig. Die Polarisierung besorgten ein sogenannter Exzenterwechsler und ein ausgeklügeltes System aus Schalt- und Sperrklinken.

Drei Jahre später, mittlerweile schrieb man das Jahr 1948, war Eterna an der Reihe. Bei den Grenchnern ließ der Ingenieur Heinrich Stamm, intern respektvoll Daniel Düsentrieb genannt, den Rotor um ein Miniatur-Kugellager drehen. Das reduzierte Lagerreibung und Bruchgefahr. Darüber hinaus besaßen die Automatikwerke 1198 und 1199 ein gleichfalls patentiertes Wechselgetriebe mit federlosen Klinken. Dieses effiziente System zeichnete sich durch minimale Verlustwege beim Klinkenrückgang aus. Nicht zuletzt deshalb beschritten in den folgenden Jahrzehnten auch anderer Automatik-Fabrikanten diesen zukunftsweisenden Weg.

Journalisten lobten die „Eterna-Matic“ damals als „wissenschaftlich modernste und von Fachleuten bevorzugte Uhr”. Zu diesem Urteil steuerte auch das Faktum bei, dass es Eterna erstmals in der Geschichte des Selbstaufzugs gelungen war, die Automatik in einem aus insgesamt zwölf Teilen bestehenden Modul zu vereinigen. Nach dem Lösen von drei, in neueren Kalibern sogar nur zwei Schrauben, konnte es in weniger als einer Minute vom Basiswerk abgehoben werden. Natürlich profitierte auch die Rohwerke-Schwester Eta von diesem Pioniergeist. Weil Eterna den technologischen Vorsprung den Konkurrenten vorenthalten wollte, mussten sich die 1950 lancierten Eta-Automatik-Kaliber 1216 und 1256 mit den Klinkenrädern begnügen, während die Schwungmasse um ein konisches Gleitlager rotierte.

En 1944, l' horloger Albert Pellaton rejoint IWC . En tant que directeur technique, il a dirigé l'usine de Schaffhausen à l'âge de la montre automatique. Le 7 Juin 1950, la société a déposé un brevet d'invention, qui devrait également écrire l'histoire. La transmission de puissance du rotor au barillet a eu lieu sur le calibre automatique 81 et sur la "série 85" suivante dans les deux sens de rotation. Et avec l'aide d'une came et d'un système de cliquet sophistiqué. Ce dernier effectue alternativement les tâches d'ascenseur et de backstop dans l'ascenseur dit "Pellaton".

C'était une tendance: l'avenir appartenait à l'ascenseur à double effet car, dans la mesure du possible, tout mouvement du bras de support et donc du rotor, quelle que soit sa direction, devait être utilisé pour générer de l'énergie pour l'horloge automatique. Beaucoup de portée créative offert la construction de la transmission à la polarisation selbiger. La roue dentée, le cliquet et les changeurs excentriques ont rivalisé et rivalisent pour la faveur des acheteurs automatiques de montres à ce jour.

Puis vint l'année 1973 et avec elle un nouveau calibre de chronographe, qui a facilement survécu à la tourmente de la révolution du quartz - au cours de laquelle la montre-bracelet mécanique a failli disparaître - le Valjoux 7750 . Avec lui, le designer Edmond Capt a mis l'accent sur le service et l'efficacité énergétique. La chose étonnante était que le rotor ne fonctionnait que dans une direction. La critique selon laquelle il fait son travail de façon insuffisante est également entendue par des professionnels aussi bons que jamais. Au contraire: Encore et encore, la bonne performance de levage et la fiabilité sont loués. Notamment pour cette raison, ce calibre automatique, malgré sa technologie relativement simple, est aujourd'hui l'un des best-sellers incontestés parmi les mouvements disponibles à la montre-bracelet mécanique.

En 1994, Girard Perregaux revient en 1994 avec la famille de calibre 3xxx dans les rangs des usines qui fabriquent des montres automatiques. Le calibre de base 3000, diamètre 23,9 et hauteur 2,98 mm appartient aux représentants particulièrement plats des espèces à rotor central. L'énergie pour l'automatique procure un rotor à roulement à billes dans un sens de rotation. La dérogation d'un changement de vitesse a été faite après un examen attentif, car de l'avis des concepteurs réagissent seulement unilatéralement aufziehende rotors beaucoup plus sensibles aux mouvements du poignet et de la montre-bracelet.

Ce point de vue par exemple partagé, Jaeger-LeCoultre dans le développement du calibre automatique 324. Ainsi a entendu la question de savoir si les plantes fonctionnent plus efficacement avec l' enroulement unidirectionnelle ou bidirectionnelle, dans la catégorie des chercheurs disputer lors de son lancement en 2004, 975 « Autotractor » ou Patek Philippe. La réponse valable est encore lent à venir. Les deux systèmes ont leurs avantages et quelques inconvénients, notamment dans la pratique et pour le soutien des montres automatiques.

Contrairement au changement de vitesse, le réducteur du mouvement automatique est indispensable. Sa tâche consiste à convertir les mouvements du rotor relativement rapides en un couple plus lent et plus élevé. C'est ce qu'il faut pour tendre le ressort de tension.

Parce que trop d'une bonne chose serait mal à l'extrémité du ressort extérieur est fixé non pas sur le canon. Au contraire, elle dépend du crochet d'une Gleitzaums qui glisse sur atteindre la tension maximale prédéfinie le long de la paroi intérieure du cylindre.

Rotor oui, mais quelle cause de discussion pour fournir la forme, la taille et la disposition du volant. Qu'il s'agisse d'un rotor central ou d'un micro-rotor: chaque système a ses avantages, mais aussi ses inconvénients. Les ventilateurs du rotor central classique ne voient aucune raison technique d'utiliser un rotor de plus petit diamètre et l'intègrent quelque part dans la base. Prenez le mouvement "El-Primero" de Zenith, par exemple, et calculez le couple du rotor central comme suit:

Avec la même forme du volant et à deux millimètres du centre, les roulements doivent réduire logiquement leur diamètre en conséquence. Cela conduit au résultat suivant

La compensation nécessite donc un réducteur différent. Selon la gravité, le processus de levage peut ralentir ici.

Dans la construction de mouvements automatiques très plats ou même ultra-plats, les concepteurs ont pu intégrer complètement le rotor dans l'usine depuis les années 1950. Dans ce cas on parle du micro rotor. Un exemple de calcul pour ceci:

Par le calcul correspondant du réducteur, la perte de couple statique peut également être compensée ici. En comparaison avec les volants agencés centralement ou légèrement excentrés, les micro-rotors permettent non seulement une construction particulièrement plate, mais aussi une vue non obstruée du mouvement entier avec ses décorations et le système oscillant et inhibiteur. Et c'est surtout pour beaucoup d'amateurs de montres automatiques et bien sûr de montres à remontage manuel un critère de décision très sérieux.

Ce plus petit que les rotors centraux font leur travail dans la automatique très satisfaisante, prouvent, entre autres, le mouvement automatique éprouvé par le temps 240 de Patek Philippe , 1,96 de Chopard , la RD 77 par Roger Dubuis , 1270 Piaget ou Sax-O-Mat de A. Lange & Sons .

Le mouvement est avec une horloge automatique (presque) tout s

Indépendamment de la taille et du positionnement du volant moteur, quel que soit l'ascenseur à action unilatérale ou bilatérale, est commun à tous les travaux pour la montre automatique: Si vous voulez travailler correctement sans manuel manuel, il faut un mouvement suffisant, la montre fourni par un remontoir. Parce que seul le mouvement génère de l'énergie cinétique pour tendre le ressort de traction. Ceci est accompagné d'un couple d'entraînement plus uniforme, qui à son tour peut se refléter dans une meilleure performance de la montre-bracelet. GLB

Vous trouverez plus d'informations sur les fonctions et les complications dans le mouvement mécanique dans UHREN MAGAZIN Special Knowledge 2017 .

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